Cette semaine, j'ai repris la lecture à mon grand plaisir !

A) J'ai donc lu Ceci est notre post-partum d'Ilana Weizman, offert par ma petite soeur à mon anniversaire. 

Ce livre est un ouvrage féministe fort intéressant, largement documenté avec beaucoup de références à différentes études, renvoyant à de nombreux livres, témoignages, différents professionnels pluridisciplinaires nécessaires à l'accompagnement, comptes de réseaux sociaux ...

Il ne donne pas les clés pour bien vivre son post partum mais pose de nombreux constats et se veut informatif pour oser mettre en mots une réalité taboue dans notre société, suite à de longues centaines d'années de constructions culturelles et sociales. 

Voici comment se découpe ce manifeste :

CHAPITRE 1 Qu'est-ce-que le post partum ? 

CHAPITRE 2 Une société hermétique à la douleur des femmes

Voici les phrases qui ont retenu mon attention également dans ce chapitre :

"Exprimer ses difficultés de nouvelle mère ne revient pourtant pas à manquer de respect à celles qui vivent la douleur de ne pas pouvoir avoir d'enfant alors qu'elles le souhaitent ardemment." 

"Une femme qui ne veut pas d'enfant n'en retire pas un à une femme qui ne peut en avoir. Une femme qui en a deux n'en donne pas un à une femme stérile. Une femme qui avorte ne retire pas un enfant à une autre. Chaque destin est individuel."

CHAPITRE 3 L'indécence du corps post partum

Ce chapitre évoque notamment les fluides corporels : le lait, le sang, ...

Le sang, rappel du paiement de la faute originelle d'Eve, sang tabou, sang démoniaque, sang impur lorsqu'il est féminin contrairement au sang masculin signifiant la force, le courage, ...

Et quand au lait, laissez-moi copier la vision bien drôle d'Aristote dans l'antiquité : "Aristote établit une nature commune entre sperme et lait maternel. Il explique que, durant l'acte, le sang menstruel et le sperme se mélangeraient pour former le lait. Le sperme, liquide masculin si extraordinaire serait donc à l'origine du lait, subtilisant ainsi le fruit du labeur des mères. Dans cette vision l'homme féconde ET nourrit. Il est créateur ET pourvoyeur."

Et puis il est question du corps tout entier. Ce corps qui ne correspond plus DU TOUT à tout ce qu'on attend de la femme. Ce corps n'est pas beau, jeune, tonique et mince. "Morceau de chair bleuie par les efforts, tranche de peau malade et gélatineuse qui se balance sous tes yeux". Il ne répond plus aux impératifs de la tenue du foyer, n'est plus disponible pour la sexualité et le devoir conjugal, et devient superflu à partir du moment où il a rempli sa fonction première de reproduction. "Là-bas derrière la porte, ils ont déjà dissimulé le sang, la merde, les larmes, les cris, les draps ont été changés, la lumière a été tamisée, il ne reste que le bébé à la peau douce dans un pyjama de velours [...]. L'accueil du bébé vient souvent avec une forme de mise à l'écart de la mère et de son corps post partum usé jusqu'à la moelle, sans jamais être reconnu pleinement, sans jamais être affiché comme normal, sans jamais être loué comme il le devrait.

CHAPITRE 4  Domination masculine intériorisée et compétition féminine

"Les femmes sont naturellement plus douces, plus maternantes, plus conciliantes, plus soigneuses, etc. NON. Les femmes sont socialisées à être plus douces, plus maternantes, plus conciliantes, plus soigneuses, etc. Et rien de cela n'est gravé dans la roche ou dans leur gêne."

D'ailleurs dans le chapitre 5, il y a un résultat intéressant d'une étude récente d'un point de vue biologique pour contrer l'argument du besoin biologique de la mère en priorité, je reviendrai à cette citation tout à l'heure.

Pour l'instant j'ai noté un peu plus loin dans ce chapitre 4 un contre exemple prouvant bien que cet aspect de maternité et cette relation mère-enfant "naturelle" n'est qu'une construction sociétale et culturelle.

"Ariès situe l'apparition de l'amour maternel au XVIIIème siècle, puis la généralisation de ces manifestations au XIXème siècle seulement, avec le concours de l'Etat et de l'Eglise pour répondre à des intérêts politiques et démographiques. Pour étayer son propos, il prend notamment l'exemple du recours aux nourrices, extrêmement répandu au XVIIè et XVIIIème siècles [...]. Les enfants étaient donc élevés loin de leurs parents. [...] Dans ce cadre, les mères ne semblaient pas plus sentimentales que les pères."

CHAPITRE 5 Pistes politiques pour un meilleur vécu post partum et une parentalité égalitaire

Dans ce chapitre, il est d'abord question des mythes à déconstruire.

"Devenir mère, c'est sentir sa vie et son identité ébranlées, avec tout à reconstruire : son rapport à un nouvel être, à soi, à son partenaire. On parle beaucoup de ce qu'un enfant apporte. Et c'est vrai, il apporte des nuances de bonheur encore jamais approchées. Mais on nous cache une partie de l'histoire, la partie de ce qu'il nous retire. Un enfant, c'est aussi une lourde perte de soi. Il est indispensable de faire tomber cette idéalisation et d'accepter que l'identité de mère naissante soit en demi-teinte, ambivalente, évolutive. Que la maternité c'est sublime ET l'aliénation. Pas l'un ou l'autre. Pas l'un après l'autre. Les deux superposés."

"Informer afin de normaliser, de déculpabiliser et de soulager. Autoriser la prise de parole future d'une autre femme."

L'autrice évoque également le terme de matrescence (terme de Clémentine Sarlat crée en 2019, contraction de maternité et adolescence). Je pense qu'il faut que je fouille davantage autour de ce thème car moi il évoque plutôt jusque là une vision de la mère parfaitement dévouée à son enfant qui renaît à la naissance de son enfant et qui n'existe plus pour elle même et je trouve ce terme assez culpabilisant si on n'a pas l'impression de ressentir cet amour inconditionnel à chaque instant et l'envie d'exister pour soi. Or à le lecture ici de ce terme j'ai bien l'impression que j'en ai eu une interprétation faussée et je suis curieuse d'en savoir plus sur le sujet alors je vais creuser la question. A la même page, l'autrice évoque plusieurs comptes instagram "le quatrième trimestre" "Post partum ta mère" et différents ouvrages "Le mois d'or. Bien vivre le premier mois après l'accouchement" que je compte attaquer en suivant ainsi que "Bien vivre le quatrième trimestre au naturel" que je vais certainement m'acheter également du coup. 

Ce chapitre se poursuit sur tout l'accompagnement insuffisant en France et pourtant nécessaire de cette période clé dans le vie d'une mère. Elle évoque les kraamverzorgster aux pays bas qui accompagnent la mère 8h par jour pendant les 8 premiers jours à la maison ce qui est énorme !

Il est vrai que j'ai été informée de possibilité de faire appel à la PMI de secteur, que j'aurai une visite de la sage femme libérale à la maison au cours de la première semaine et que j'ai la possibilité de faire appel aux sage-femmes de la maternité spécialisée dans l'allaitement, le portage... suivant les difficultés que je rencontre mais il faut oser faire la démarche. 

Enfin il est question du congé de CO-parentalité, congé égalitaire de 16 semaines pour la mère et le coparent. Il faut tout un village pour élever un enfant. Sauf que dans notre société le village se résume au couple, aux professionnels de santé pas vraiment proches et disponibles et éventuellement à la famille et aux amis si ceux-là sont proches spatialement et socialement. Et l'un des membres principaux du village n'a que quelques jours de congés suite à la naissance et la mère se retrouve alors à mettre en place dès le départ des habitudes et construire une relation de proximité avec l'enfant qui vont confirmer par la suite le "cadre sociétal construit des rôles de l'homme et de la femme". Bon alors oui, c'est vrai, déjà, nous avons de la chance avec la réforme depuis début juillet. Cette fois j'aurais mon conjoint un mois avec nous, nous serons ensemble durant le fameux mois d'or pour essayer de construire ce nouveau équilibre. Mais soyons clairs, 1 mois c'est bien mais ce n'est pas suffisant ! C'est vrai que le congé de coparentalité égal en temps pour les deux parents (enfin congé^^) semble idéal pour la construction de la relation de l'enfant avec ses deux parents, de la construction du nouvel équilibre familial et de gestion quotidienne du foyer et de l'égalité face à l'emploi qui discrimine les femmes à cause du risque de maternité et de "congé". L'Espagne à partir de cette année accorde justement ces 16 semaines indemnisées à 100%. La Norvège propose un choix de 49 semaines à 100% ou 59 semaines à 80% dont 10 semaines obligatoires pour la mère, 10 semaines pour le père et le reste à se partager. 

Ah et justement j'évoquais tout à l'heure une étude biologique ... "Lorsqu'un homme devient père, il est non seulement soumis lui aussi à des modifications hormonales mais son cerveau s'équipe également de tout nouveaux neurones, les rendant plus alertes, plus aptes à la concentration. Hormonalement, le taux de testostérone d'étiole et l'ocytocine - hormone de l'amour, de la confiance et du lien social - augmente à taux égal avec celui de la mère si les contacts physiques avec le bébé sont équivalents. [...] La prolactine - hormone intervenant dans le processus de fabrication du lait- apparaît aussi chez l'homme en réponse aux pleurs de leur enfant." 

Bref j'ai eu du mal à attaquer le livre car n'apporte pas de solutions concrètes et ne correspondait pas forcément à mes besoins de réflexions et de recherches existentielles du moment mais finalement celui-ci était tellement intéressant et riche que je l'ai finalement continué et achevé avant la fin du weekend. 

B) Cette semaine, j'ai également lu (mais pas terminé) "Bébé s'exprime par signes" de Christine Nougairolles et Anaïs Galon. 

Cet ouvrage comprend une première partie informative sur la construction du langage chez le jeune enfant, sur le besoin de communication et l'intérêt des signes pour bébé puis enfin un répertoire de signes classés par thème qui est bien pratique pour s'y référer.

Et bien sûr quand il est question de signes, je ne peux que renvoyer au super compte de Little Bun Bao, je me tâte d'ailleurs à acheter son livre mais j'ai peur que cela fasse doublon au niveau du vocabulaire. En tout cas je suis friande de ses cours sur Udemy, de ses stories instagram et vidéos youtube qui construisent mon apprentissage de la langue des signes pour bébé. 

Depuis le début du neuvième mois, je fais le compte ici des semaines de grossesse qui défilent et qui me rapprochent de la rencontre avec ma fille !

35 SG / 37 SA

36 SG / 38 SA

37 SG / 39 SA

Aujourd'hui, j'en suis donc à 40 semaines d'aménorrhée, 9 mois lunaires pleins, et au terme considéré par certaines applications même si en France le terme est considéré à 41 SA.

En regardant à nouveau, Auguste est né à 40 SA pile ! On verra bien si sa petite soeur veut la même chose !!

Tiens justement je vous parlais d'application. Suite à plusieurs stories vus sur instagram avec des comparaisons de taille de bébé avec orange, avocat, melon, .... selon l'avancée de la grossesse, j'ai voulu avoir un suivi identique. J'ai donc téléchargé Grossesse +, app en partenariat avec Avent (donc contenant des pubs pour cette marque forcément!)

Voici la description de Grossesse + trouvée sur internet :

" Grossesse + est une  application de suivi de grossesse très populaire que vous pouvez utiliser pour suivre votre grossesse. L’application fournit des informations quotidiennes sur votre bébé sous forme d’images claires.

Il comprend également un journal intégré dans lequel vous pouvez enregistrer les visites de documents. L’application comprend également un suivi de la santé où elle suit divers aspects de la santé tels que l’exercice, le régime alimentaire et d’autres choses." 

Pour ma part, je n'ai pas utilisé tous les outils de l'application et tout le suivi qu'il propose. J'ai aimé simplement lire les articles quotidiens sur des sujets intéressants aux différents stades de la grossesse : les démarches à penser, les petits maux, les particularités du foetus et du bébé à telle ou telle semaine... J'ai apprécié aussi la chronologie claire, les comparaisons claires même si bien sûr ce n'est pas la vérité absolue et chaque évolution est différente mais cela donne des repères très appréciables !

Il existe pleins d'autres applications de grossesse bien évidemment, j'ai pas arrêté d'avoir des pubs pour les unes et les autres sur Instagram. Mais je n'ai essayé que Grossesse + . Sinon j'ai vu qu'il existait l'application Bébé + pour faire suite, je l'ai téléchargée en prévisions, je m'en servirai peut être pour le suivi des tétées, poids... ainsi que la lecture des articles bien ciblés qui vont sûrement être intéressants aussi !

Il y a quelques mois (juillet), j'ai acheté un dentifrice de la marque Endro. Quelques temps après, ma curiosité ayant été attisée par ce premier produit concluant, j'ai acheté également un déodorant de la marque.

Je me suis dit qu'il était peut être temps de vous présenter ces deux produits qui me plaisent bien et qui complètent ma trousse de toilette zéro déchet.

J'ai choisi un dentifrice à la menthe et un déodorant palmarosa.

Les points positifs de ces produits :

1) le packaging : les petits pots en verre sont réutilisables ou recyclables à l'infini (particularité du verre) et même réutilisables directement. Les petits pots sont à ramener sur le lieu d'achat comme consigne et renvoyés à la marque qui les réutilise.

2) La texture : pour moi c'est un gros point positif de ces produits, notamment du dentifrice, il s'agit d'une texture pâte comme le dentifrice en tube et cette ressemblance avec le produit "habituel" est un gros avantage pour passer à l'alternative zéro déchet ! En ce qui concerne le déodorant, la texture est un baume fondant qui s'étale facilement sur les aisselles et sans l'aspect granuleux et irritant du bicarbonate comme dans le déodorant que j'avais essayé de faire maison. Les deux produits sentent légèrement l'huile essentielle qu'elle contient mais sans que cela soit envoutant et dérangeant. Bref ! Je suis convaincue.

3) La composition

Seulement 5 ingrédients pour le dentifrice et 100% d'origine naturelle et certifiés bio.

5 ingrédients bio et d'origine naturelle également pour le dentifrice.

4)  Leur efficacité ! Le déodorant est efficace sur la journée , ne tâche pas les vêtements et n'irrite pas la peau, il est tout doux et agréable à appliquer. Et le dentifrice mousse en bouche suffisamment et laisse cet impression de bouche propre grâce à la légère odeur d'huile essentielle de menthe, tout pour me convaincre, c'est jusque là mes meilleurs essais d'alternative zéro déchet ! Je vous renvoie à un article de 2019 avec des tests en demi-teinte. 

5) Leur origine : Ce sont des produits issus de l'artisanat français, plus précisément de Bretagne suite à un projet monté par un couple Marion et Boris début 2019, une campagne ulule réussi, des marchés locaux d'abord puis un site internet permettant la vente et diffusion plus importante. La gamme s'agrandit au fur et à mesure. Je pense tester des produits pour mes cheveux abimés d'ailleurs prochainement. 

Au niveau prix et durée d'utilisation, le pot de dentifrice est à 10€, j'ai dépassé la moitié du pot en l'utilisant vraiment depuis 2 mois donc disons 3 gros mois pour finir le pot ce qui fait 40€ de dentifrice l'année. C'est pas donné mais je suis sure qu'en comptant la quantité de tube de dentifrice achetés et jetés. Et puis je n'achète plus de brosse à dent non plus seulement des têtes pour mon manche rechargeable (depuis 2018...) alors bon. Pour le déodorant il est écrit 2 à 3 mois d'utilisation sur le pot pour un prix de 9€ soit 36 à 54€ l'année. Idem ce n'est pas donné mais bon. C'est le prix à payer pour un meilleur produit pour notre corps et notre planète.

Le point négatif pour moi est l'application, il faut une petite spatule ou petite cuillère pour éviter de tremper sa brosse à dents chaque fois dans le pot sinon ce n'est pas très hygiénique. Idem pour le déodorant une petite spatule sert à attraper une noisette de produit que l'on étale ensuite à la main sur l'aisselle. C'est sur que le déo-boule ou spray est beaucoup plus pratique mais bon... un seul point négatif face à tous les points positifs, ça va !

Pour finir cet article, je vous envoie sur leur boutique, ils ont des idées de coffrets cadeaux pour Noël !

Pour ce mois de novembre, je suis partie sur un thème en accord avec un grand changement dans ma vie ce mois-ci, la naissance de ma fille. Alors c'est un thème enfantin à base de douceur maternelle, de dessins simplifiés de bébés et leurs "accessoires".

J'ai choisi pour l'instant de simplement dessiner et repasser aux stylos multicolores. Je verrai au fil du mois si j'ai envie d'apporter plus de couleurs en coloriant aux crayons de couleur...

La page de garde

Le calendrier 

La to-do list et page pense bête

J'ai choisi d'associer la page de gratitude aux pages de semaines en la séparant en deux parties. Et ma page semaine comprend un découpage de page intermédiaire pour rentrer tous les jours. Je verrai si cette configuration me convient.

Semaine suivante

Deuxième partie des gratitudes pour la fin du mois

RIEN du TOUT ! J'avoue que j'ai passé la semaine à jouer sur mon téléphone, à re-regarder une série (enfin en avancée rapide je ne regarde que les scènes que je veux revoir^^) et à faire les dernières choses que je comptais faire à la maison avant l'arrivée de Miss Paillette que nous attendons tous avec impatience. 

Auguste quant à lui est monté à la mezzanine maintenant que la bibliothèque est quasiment rangée et a retrouvé avec plaisir certains livres. Cette semaine nous avons donc lu des contes et ce super livre détaillant un très grand nombre de sports ainsi que le nouveau livre reçu chez Max do.

Je vais profiter ce cet article lecture pour présenter un cadeau qu'Auguste a eu pour son anniversaire. Il s'agit de la Lunii, une boîte de fabrique à histoires. C'est un outil pratique pour " réveiller l'imaginaire et développer la créativité de 3 à 8 ans sans onde et sans écran". Le but n'étant pas pour nous de remplacer l'histoire offerte du soir mais de la compléter, de se recentrer pour un temps calme en début d'après-midi ou en cas de crise de colère (croisons les doigts il n'y en a pas ces temps-ci), d'avoir une nouvelle source d'occupation lorsque fiston s'ennuie, de proposer un nouveau support d'imaginaire autre que la télé et les dessins animés. 

Le boitier interactif comprend déja les 48 histoires de Suzanne et Gaston. L'enfant doit choisir à chaque fois le personnage principal (Suzanne ou Gaston), le lieu (la maison, la mer, la forêt, un château), une rencontre (ogre, sorcière, loup, baby sitter, souris, père noël, pirate, sirène, fantôme... selon le lieu choisi) et enfin un objet (fil, dent, bille, clé, échelle....) 

Nous avons complété avec deux packs supplémentaires :

Les aventures de Suzanne et Gaston à Rome 

Les aventures de Léo

Pour être tout à fait honnête, Auguste a beaucoup utilisé sa Lunii au mois de septembre, il l'écoutait quotidiennement et souvent les mêmes :

Suzanne à la mer avec la sirène et la clé.... nous la connaissons par coeur !

Ainsi que Suzanne et la fontaine de Trévi avec son cousin qui mangent une glace ...

Mais c'est vrai que ce mois-ci il a un peu délaissé sa boîte à histoires. Comme tout je suppose, l'attrait de la nouveauté passé, et ayant beaucoup trop écouté, il fait une pause avant d'y retourner avec plaisir. On verra si on lui complète son répertoire pour Noël du coup avec des nouvelles histoires.

Dans tous les cas, nous ne regrettons pas du tout notre choix et cet achat !

J'ai longtemps hésité avec Bookinou mais finalement la Lunii me semble plus adapté à Fiston et il a déjà de nombreux temps avec des histoires lues par ceux qu'il aime donc le Bookinou aurait fait doublon et me semble adapté aux plus petits tandis que la Lunii me semble complémentaire et plus riche en histoires, imagination, créativité et découverte même pour les années à venir !