• Cet article j'avais prévu de l'écrire et le publier pour les 13 semaines de vie. 13 semaines c'est un trimestre, le fameux 4e trimestre. Oui ce fameux 4e trimestre de post partum, les deux notions sont d'ailleurs liés même si le post-partum va bien au-delà de 13 semaines et je pense que c'est pour ça que j'ai encore du mal à écrire cet article parce que je suis encore dedans. Bon la dépression, moi je n'en suis pas du tout là. J'ai quelques fois eu des phases de baby blues je l'avoue mais je ne déprime pas.

    Par contre je ne peux pas nier que je suis toujours enfin non que nous sommes toujours le nez dans le guidon. Petite métaphore... de vie en mer. La tempête provoquée à la naissance et amenant un énorme chamboulement s'est calmée. Nous avons quitté le rafiot de misère et voyons désormais l'horizon. Mais nous avançons doucement nous sommes encore loin du rythme de croisière. Nous sommes sur un voilier se laissant emporter par les vents de la fatigue certains jours. 


    Ce quatrième trimestre, c'est 3 mois d'adaptation, adaptation pour le bébé d'une nouvelle vie extra-utérine. On peut dire, en tout cas j'espère, que de ce côté-là ma fille s'est bien adaptée. Nous l'avons portée, bercée et nous continuons ; je l'ai allaité et je continue encore, nous avons fait du cododo et celui-ci continue au moins pour une partie de la nuit. Ma fille progresse bien ; elle est dans l'interaction avec nous, elle développe sa motricité, bouge ses jambes ses bras et essaie de se relever et se de se retourner.  Elle essaie d'attraper les objets qui sont devant elle, elle n'y arrive pas encore mais elle s'entraîne. Elle grandit bien, elle grossit bien, elle mange bien, elle élimine bien. Bref je pense, j'espère, que pour elle tout va bien.

    Mais ce quatrième trimestre c'est aussi une adaptation pour toute la famille, pour chaque membre de la famille. C'est rigolo, quand j'ai dicté cet article tout en berçant avant de le relire, de modifier, de corriger les erreurs de compréhension, le dictaphone a écrit pour souder la famille au lieu de toute la famille. Oui c'est vrai, une adaptation pour souder la nouvelle famille. En effet, chaque nouvelle relation doit être (re)construite et ce n'est pas seulement celles avec le nouveau membre de la famille mais chaque relation entre chaque membre de la famille doit être à nouveau définie après une naissance.

    Et le post partum en fait, c'est trouver l'équilibre. Trouver un nouvel équilibre dans la relation avec soi-même et ce n'est pas facile. Trouver un nouvel équilibre dans la relation de couple, arriver à trouver du temps pour ne pas être seulement parents. Trouver un nouvel équilibre avec le grand frère, lui accorder du temps de qualité pour ne pas qu'il se sente délaissé. Puis trouver un équilibre avec chacune des relations multiples les parents avec l'ainé, les parents avec ce nouveau bébé, la relation fraternelle qui doit se construire et la famille dans sa globalité en trouvant un nouveau rythme à 4.

    Et c'est pour tout ça, pour tous ces équilibres à trouver que je dis que nous sommes loin du rythme de croisière.

    Je voulais faire référence à une partie d'un article du blog de Merci qui ? Merci Montessori sur le nombre de relations dans une famille, voici l'extrait en question mais le fond de l'article qui est les reconnexions est aussi une pépite à lire : le voici en lien en entier. 

    16 semaines de vie - post partum


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  • Aujourd'hui, comme tous les jeudis

    depuis le 11 novembre,

    1 semaine de plus pour ma fille

    et aujourd'hui c'est un compte rond

    10 semaines de vie !

    10 semaines de vie

     

     

    10 semaines déjà que j'ai accouché 

    10 semaines déjà qu'elle est née

    Je me souviens peut être déjà plus de tous les détails mais je me souviens ...

    Voici le récit de ce moment il y a 10 semaines.

    Je me souviens ...

    de mon impatience et de la dernière photo sans le savoir forcément de mon gros ventre 

    10 semaines de vie

    de danser la veille au soir (entre 22h et 23h) pour l'encourager à venir (téléphone, ACDC, noir désir, offspring et d'autres)

    10 semaines de vie

    puis d'aller me coucher et de ne pas pouvoir m'endormir,

    mon ventre tirait sans être douloureux mais quand même.

    Je me souviens ...

    des premières contractions qui sont arrivées, pas douloureuses mais qui me demandaient de  m'arrêter et respirer un grand coup. (00h-1h environ)

    de tenter la séance de sophrologie répétée lors de la préparation à l'accouchement et d'aller chercher l'énergie nécessaire dans mon image mentale ressource pour gérer la suite.

    des contractions suivantes qui continuaient, aléatoires, inégales, irrégulières.

    de tenter le ballon, une position, une autre mais au moment où elles étaient là j'avais juste envie d'être debout, de m'appuyer contre le mur et de souffler puis ça passait.

    Je me souviens ensuite ...

    Cœur appelle la maternité pour prévenir que c'est pour cette nuit mais que c'est encore irrégulier, la sage femme au téléphone conseille de prendre un bain et un peu de repos, dit qu'il y a le temps (oubliant que c'était un second^^)

    Cœur appelle ensuite notre ami A. qui doit venir garder notre ainé en lui disant de prendre son temps, que ce n'est pas encore le moment mais que ça va arriver. Il va donc venir passer la fin de nuit ici puisqu'il est actuellement 3h du matin.

    Je décide finalement de prendre le bain conseillé pour soulager les contractions même si elles ne sont toujours pas trop douloureuses et cela  fait effectivement beaucoup de bien. A un moment, coeur vient prendre des nouvelles et la réponse précipite la suite :

    "j'ai eu 3 contractions depuis que tu es parti. Mais ça fait 12 minutes ! Ah, bon alors dès qu'A. arrive on part à la maternité !!"

    Je me souviens aussi d'appeler ma mère dans la voiture (3h35) pour passer les contractions avec elle pendant que Coeur conduit. Et enfin nous arrivons à la maternité à 3h50 du matin alors que les contractions continues et douloureuses mais toujours gérables ne me quittent plus. 

    10 semaines de vie

    En salle d'examen, nous cherchons tous les papiers sur le téléphone, notamment les résultats de la dernière prise de sang, importants pour la péridurale et que j'ai oublié d'imprimer ...

    Pendant ce temps, la sage-femme Christelle, m'examine et les papiers pour la péridurale deviennent inutiles car pas le temps de la poser...

    9 cm

    il est donc temps d'aller en salle de travail, la "Lilas". Je n'avais pas demandé la salle physio et la sage-femme ne m'y amène pas car elle est apparemment moins pratique. Ceci dit les autres salles, en tout cas celle où je suis est bien aussi, la lumière est tamisée et puis l'équipe est complètement dans le respect de la physiologie, dans l'accompagnement de nos envies de nos besoins et c'est top. Pas d'obstétricien en vue qui va rendre ce moment trop médicalisé.

    Bref il est 4h et quelques et je commence quand même à souffrir ... Les contractions sont fortes mais je ne sens toujours pas le besoin de pousser. La sage femme et l'auxiliaire m'aident à me mettre dans une position (sur le côté car je m'attendais tellement à avoir la péridurale que je pensais ne pouvoir accoucher que sur le côté ou le dos) mais cela ne me convient pas du tout, elles me proposent alors de me mettre à quatre pattes et j'y reste un moment. Je tente de pousser en m'accrochant à un drap attaché à la tête du lit, la douleur est horrible, je me décourage, j'ai du gaz décontractant pour m'aider.

    A un moment, je hurle, un cri animal sorti des tripes, un cri de douleur, un cri de souffrance, un cri de désespoir, je suis en plein dans la fameuse phase de désespérance je suppose.

    Je veux que ça s'arrête, je veux partir d'ici, je veux arrêter d'accoucher, c'est trop dur, c'est trop intense, c'est trop douloureux. Malgré tout je n'arrête pas de m'excuser parce qu'en poussant, des selles sont expulsées aussi. (je souris en pensant au pronostic de ma soeur qui va donc avoir un point à la question conditions d'accouchement) J'apprends donc à ce moment là que ça m'était déjà arrivée pour Auguste mais je ne m'en étais pas rendue compte avec la péri et j'apprends qu'en fait ça arrive à un fort pourcentage de femmes pendant l'accouchement et c'est tout à fait normal puisque c'est le même muscle qui travaille. Bref ! 

    Je finis sur le dos en pensant chasse neige chasse neige chasse neige pour que ce soit plus physiologique mais je suis toujours au summum du désespoir et de la douleur.

    Avec tous les encouragements de Coeur, de la sage femme, de l'auxiliaire, je comprends que la seule façon d'en finir avec la plus grande douleur ressentie de toute ma vie, c'est de pousser assez pour qu'elle sorte. 

    Et donc nous voilà arrivés à l'étape du cercle de feu, à la douleur extrême, au déchirement qui survient au même endroit que l'épisiotomie quelques années plus tôt. Et je pousse, je pousse, je pousse en respiration bloquée alors que je pensais sérieusement préférée l'autre type de respiration d'accouchement. Alors que la sage-femme me fait des grands signes de stopper parce que la tête est sortie, je ne peux plus m'arrêter. Coeur me dit stop c'est bon. 

    J'entends alors que je peux attraper ma fille. Apparemment je me jette sur elle avec un instinct animal. 

    Il est 4h50, le jeudi 11 novembre 2021 au petit matin, ma fille est née. 

    10 semaines de vie

    Le placenta sort ensuite sans souci. Nous demandons à le voir par curiosité, la sage femme nous montre les différentes parties, le reste de la poche dans laquelle elle était, le cordon que Coeur coupe. Nous ne faisons pas partie des gens apportant une importance au placenta mais nous avions envie de voir, de savoir.

    Alors que ma fille est en peau à peau, la sage femme me recoud avec un peu d'anesthésiant local. On peut voir sur une de ces premières photos avec ma fille que ça "picote" un peu. Enfin la douleur est très faible après celle d'un accouchement sans péridurale. 

    10 semaines de vie

    Son pouce déjà dans la bouche, je mets ma fille au sein dès que je peux car c'était un de mes désirs, la mettre au sein le plut tôt possible. 

    L'équipe nous laisse ensuite deux heures de calme, la lumière tamisée, dans notre cocon à trois, nous laissant nous découvrir (venant juste vérifier ce temps en temps, le moins possible, que je ne fasse pas d'hémorragie).

    Un petit déjeuner nous attend ensuite en chambre, nous passons les premiers appels pour annoncer la nouvelle.

    A ce moment là je me sens épuisée, soulagée, fière parce que j'en ai chié mais je l'ai fait p****n j'ai accouché sans péridurale ! Confuse aussi, je ne ressens pas la joie immense, je ne pleure pas cette fois, je suis juste fatiguée et sous le choc, j'ai réussi, ma fille et moi avons réussi, nous l'avons fait, elle est née sans péridurale !

     

    Voilà c'était mon accouchement. Celui du grand frère est ici

     

     

     

     


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  • Voici un an je me suis laissée tenter par un abonnement mensuel d'un pack nommé l'éveil du mois sous la forme d'un contenu virtuel reçu par mail au début de chaque mois.

    Abonnement éveil du mois

    Ce contenu est créé par France Tronel du compte S'eveiller simplement que je suis avec grand plaisir sur Instagram depuis un moment maintenant. 

    Le pack contient des activités à imprimer et/ou des activités manuelles et sensorielles pour la catégorie d'âge choisie sur un thème différent chaque mois, des recettes de saison, des séances de sophrologie pour adultes, des séances de sophrologie pour enfants, un ou des podcasts sur le thème du mois et parfois des documents bonus (comme les idées "bon pour " pour le calendrier de l'avent" ou des idées bonus d'activités pour Halloween...). 

     

    J'arrive donc au terme de mon abonnement 3-6 ans puisque je m'étais offert 6 mois à Noël dernier et 6 mois supplémentaires à mon anniversaire en janvier. Les thèmes se répétant chaque année, l'abonnement est pensé seulement pour un an. J'avoue que j'aurais été tentée de m'abonner pour l'autre catégorie d'âge (0-3 ans) mais mis à part les activités nouvelles et séances de sophrologie adaptées aux plus petits, le reste du contenu sera le même donc bon tant pis. Apparemment une nouvelle catégorie 6-10 ans va voir le jour cette année aussi.

    Voici d'ailleurs les thèmes des podcasts et des activités :

    - La colère / Activités autour de l'hiver

    - La culpabilité parentale/ l'organisation / Activités autour des couleurs

    - Les périodes sensibles / Activités autour du corps humain 

    - La confiance en soi / Activités autour de Pâques

    - Les limites / les émotions / Activités autour de l'eau

    - La concentration / l'environnement / Activités autour de l'été et de la musique

    - L'apaisement du temps des repas / les enfants en cuisine / Activités autour des animaux

    - Le sommeil et l'endormissement / Activités autour de la Terre, de la Nature

    - Le regard des autres  / Activités autour des fruits et légumes 

    - Les relations dans la famille / Activités autour de l'automne

    - L'apprentissage / la CNV / Activités autour de la ferme

    - Noël / la peur / Activités autour de Noël

     

    Mon avis : j'ai longtemps hésité à m'abonner car je n'aime pas payer pour du contenu virtuel ... mais je ne regrette absolument pas. Le contenu est très riche, très varié. Je n'ai pas encore eu et pris le temps d'écouter tous les podcasts et séances de sophrologie mais ce que j'ai écouté m'a beaucoup parlé et correspond à ma vision de l'éducation ou quand cela diffère cela permet de mettre en question ses choix, de les confirmer ou de changer d'avis si cela nous correspond mieux à un moment donné.

    Les séances de sophrologie ont accompagné ma grossesse pou m'aider à faire la sieste mais je n'ai pas encore testé les "séances dynamiques". J'essaie parfois de proposer les séances enfants de mémoire à Auguste mais je ne dois pas être assez convaincante avec ma voix ou ilo n'est pas réceptif. Je les garde aussi dans ma besace d'enseignante pour les temps calmes en début d'après midi ou lorsqu'on rentre de récréation. 

    En ce qui concerne les activités, lorsque celles- ci visent des compétences de numération ou phonologie, c'est bien trop simple pour mon fils mais cela me permet d'imprimer des petits dossiers de fiches et des petits jeux de manipulation pour mes élèves. Les activités plus générales autour de l'art, de la nature, des saisons, de l'eau, de l'environnement sont très variées et inspirantes, c'est très chouettes. 

    Le dossier recettes était le premier ouvert caque mois pour donner des idées pour les courses... j'ai préféré le dossier des "recettes de base" à décliner selon le contenu du frigo (cake, tarte, galette, soupe...)

     

    Bref ! je suis conquise par ce cadeau que je me suis fait et je pense l'offrir à une amie maman...

     


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  • Cela fait quelques mois déjà que Fiston s'enfuit lorsque je sors une écharpe ou même le porte bébé. J'ai réussi encore quelques fois à le porter en sling pour rentrer de chez nounou mais je crois bien que c'est fini. Mon grand garçon veut marcher, courir même, monter les escaliers tout seul et même si je porte juste pour traverser la route ou si parfois je le mets sur les épaules pour finir le chemin trop long selon la fatigue, en aucun cas il se laisse faire pour passer dans le sling. 

    Parfois aussi je le mets sur mon dos en le maintenant comme je peux et je me dis que le buzzidil serait bien pratique mais si j'ose l'attraper il se met à hurler et se tortiller pour descendre...

    Alors bon, je suis incapable de dire le dernier jour de portage, je n'ai pas encore le cœur à ranger ma porte-bébéthèque au fond de l'armoire mais il faudra bien. De toute façon c'est mon prochain "chantier gros rangement" si j'ai une matinée de récup au mois de mai, je m'attaque à la chambre de Fiston , à trier toute la puériculture, les jouets et ranger.

    En fait si je peux dire la date, c'est tellement rare ces derniers temps que les photos immortalisent l'instant de portage : le 7 mars à la maison (il y a donc deux mois) , je l'ai forcé un peu mais au final il s'est calmé et reposé dans mon dos. Et le 9 mars je pense avoir réussi à le glisser dans le sling en rentrant de chez nounou.

     

    Fin du portage :'(


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  • Pour bien finir les vacances et bien réattaquer lundi cœur m'a accordé un weekend de liberté. Weekend sans la responsabilité de Fiston, un weekend où je pars où je flâne la journée et où je dors hors de la maison le soir pour ne pas gérer ni le coucher ni la nuit ni le réveil. Je crois que j'avais réellement besoin de ça parce que je n'ai plus de ressources, une patience quasi voisine de zéro à chaque fois, j'arrive à en perdre ma bienveillance je m'énerve, je ne supporte plus mon filset sa crise des 18 mois. Bref j'avais hâte d'être en vacances et une fois les vacances bien entamées, je n'en peux plus. Alors ça devenait vital de prendre un weekend de liberté avant la reprise.

    Samedi :
    Journée intensive mais ça fait un bien fou de se promener d'une boutique à l'autre de se perdre dans les rues de la ville que j'habite mais où je ne "vis" pas, de se retrouver, de marcher sans penser à trouver un endroit où faire goûter/ manger/changer Fiston, traîner sans se dire qu'on va rater le créneau de la sieste et que ça va être la crise de fatigue le soir. Non. Penser juste à moi. Prendre le temps de faire une manucure, chose que je n'avais jamais faite. Manger des sandwichs midi et soir mais on s'en fout car je n'ai pas à calculer le menu et comment inclure Fiston et ses nouvelles envies de manger comme les grands.
    Me faire un cinéma, lire sur un banc, faire comme une touriste à l'hôtel ^^.

    Dimanche :
    Bon j'ai une fâcheuse tendance aux insomnies alors ce n'est pas la nuit reposante que j'avais prévue... Mais relaxante oui sans bruit sans lumière et indépendante du sommeil de l'un ou l'autre de mes hommes...
    Prendre le temps de déjeuner, un déjeuner copieux salé sucré gourmand fruité. Puis trainasser et lire lire lire et dessiner, tester mes nouveaux crayons aquarellables, découvrir de supers albums jeunesse suite à mes achats de la veille. (Je ferai un article à leur propos).
    Profiter de la visite gratuite d'un musée inconnu jusque là en ce premier dimanche du mois . S'extasier devant des statues en bois laqués de divinités bouddhistes, et interpréter d'une façon ou d'une autre les magnifiques calligraphies géantes de l'exposition temporaire.
    En se rendant au dit musée se laisser guider par les "1€ par ci 5€ les 3 articles par là du marché du dimanche matin" et flâner dans la foule parce que j'ai le temps et que j'ai pas à faire attention à circuler avec la poussette ou un bébé dans le dos.
    Enfin grignoter une dernière fois dans une boulangerie dans l'après midi et lire quelques pages supplémentaires avant de rentrer voir mes hommes et me reconnecter à ma vie.... En faisant en sorte d'économiser mon énergie jusqu'à la prochaine recharge du prochain weekend MumOff.


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